sa cathédrale Que ne peut oublier la femme qui la vit. Rien ne vaut à
Paris
cette monumentale Merveille… » — « Notre-Dame… »
sa cathédrale Que ne peut oublier la femme qui la vit. Rien ne vaut à
Paris
cette monumentale Merveille… » — « Notre-Dame… »
esse normande) Plus belle que la belle Hélène, Elle fait b…er tout
Paris
, Plus heureuse que Madeleine, Elle épousa son Jés
ieux et tristes Et trois fois courageux devenaient trismégistes Que
Paris
était beau à la fin de septembre Chaque nuit deve
s tous ces chants et ces cris Qu’éveillait dans la nuit la chanson de
Paris
J’ai soif villes de France et d’Europe et du mo
chantèrent Et Rennes répondit avec Quimper et Vannes Nous voici ô
Paris
nos maisons nos habitants Ces grappes de nos sens
es Tissaient un ciel nouveau avec la soie des prières Désaltère-toi
Paris
avec les divines paroles Que mes lèvres le Rhône
ivres oiseaux s’offrir Les villes du Midi répondirent alors Noble
Paris
seule raison qui vis encore Qui fixes notre humeu
hosties Ces très-hautes amours et leur danse orpheline Deviendront à
Paris
le vin pur que tu aimes Et un râle infini qui v
Ont la saveur du sang de la terre et du sel Les voici pour ta soif ô
Paris
sous le ciel Obscurci de nuées faméliques Que car
je ne connaitrai jamais Tout cela tout cela changé en ce vin pur Dont
Paris
avait soif Me fut alors présenté Actions belles
te dame devint enceinte. Au bout d’un certain temps, l’un des juifs à
Paris
S’en fut négocier des diamants de prix.
quelle allure cependant que la nuit descend [Notre-Dame] souvenirs de
Paris
avant la guerre ils seront bien plus doux après l
Eiffel] salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô
Paris
tire et tirera toujours aux Allemands Un offici
barie Y sanglotent dans les cours grises ; Les fleurs, aux balcons de
Paris
, Penchent comme la tour de Pise. Soirs de Paris
urs, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de Pise. Soirs de
Paris
, ivres du gin Flambant de l’électricité. Les tram
octurnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se meurt
Paris
, Vancouver, Hyère, Maintenon, New-York et les Ant
roquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à
Paris
entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ter
ine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu marches dans
Paris
tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus
quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans
Paris
les femmes sont ensanglantées C’était et je voudr
Je m’en souviens j’y ai passé trois jours et autant à Gouda Tu es à
Paris
chez le juge d’instruction Comme un criminel on t
roquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à
Paris
entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ter
ine Fraternisent avec la volante machine Maintenant tu marches dans
Paris
tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus
quelquefois tu vas le regarder de près Aujourd’hui tu marches dans
Paris
les femmes sont ensanglantées C’était et je vou
Je m’en souviens j’y ai passé trois jours et autant à Gouda Tu es à
Paris
chez le juge d’instruction Comme un criminel on t
trois semaines Partira pour Corfou Tu traverses
Paris
à pied très lentement La brise au voile mauve Ete
eux ou trois semaines Partira pour Corfou Tu traverses
Paris
à pied très lentement La brise au voile mauve Ete
ue seuls le renouvellent ceux qui sont fondés en poésie. On a pavoisé
Paris
parce que mon ami André Salmon s’y marie. Nous
Ces gens qui font des tours en plein air Commencent à être rares à
Paris
. Dans ma jeunesse on en voyait beaucoup plus qu’a
rist Sont bien morts et les chats miaulent Dans la cour ; je pleure à
Paris
, Moi qui sais des lais pour les reines, Les com
nge ITALIE mère de mes pensées Et dejà quand von Kluck marchait sur
Paris
avant la Marne J’évoquais le sac de Rome par les