/ 23
1 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section V
Deux lacs nègres ») V Toi qui te tournes vers le roi Est-ce que Dieu voudrait mourir encore GUILLAUME APOLLINAIRE
2 (1914) Le Teint « Le Teint »
  Ce cœur Une créole à la Havane            Le teint blanc Sauvée par Dieu l’amour la damne
3 (1916) L'Adieu du cavalier « L’Adieu du cavalier »
L’Adieu du cavalier Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants ses lon
4 (1915) Visée « Visée »
Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu , son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphy
5 (1915) Visée « Visée »
Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met Dieu , son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphy
6 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
t des choses nonpareilles,                               Mais, nom de Dieu !                       Ventre affamé n’a pas d’o
eilles, Et, les convives mastiquaient à qui mieux mieux. Ah, nom de Dieu ! qu’ont donc crié ces entrecôtes, Ces grands pât
7 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
c’est le sol qui va Lors que vous avancer   [botte] sacré nom de Dieu quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant
ue vous avancer   [botte] sacré nom de Dieu quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant que la nuit descend [Notr
8 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
andes plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
9 (1916) Fusée « Fusée »
ourdes cymbales qu’agitent les chérubins fous d’amour En l’honneur du Dieu des armées * *   * Un arbre dépouillé sur une b
10 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
que dans notre vallée Icare Pour éviter la Nuit ta mère incestueuse Dieu circulaire et bon je flotte entre les nues Loin d
11 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
e dit écoutez c’est charmant A Smyrne à Naples en Tunisie Mais nom de Dieu où est-ce La dernière fois que j’ai été en Chine
12 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ns ambrés…                                       Et si nous revenons, Dieu  ! que de souvenirs !…                            
13 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
acons ambrés…                                    Et si nous revenons, Dieu  ! que de souvenirs !…                            
14 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
d’oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah nom de Dieu qu’ont donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés
15 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
tte, es-tu triste ? O petit cœur ! » — « Je crois qu’elle aime. » — «  Dieu garde ! » — « Pour ma part je n’aime que moi-même
16 (1902) La Loreley « La Loreley »
riez, priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège. Mon amant est parti pour un pays
17 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
femmes striées   éclat de   plongeon-diamant Arlequins   semblables à Dieu   en variété   Aussi distingués qu’un lac Fleurs
18 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
grand plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
19 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
grand plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
20 (1912) Zône « Zône »
nce de l’honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C
gardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils e
21 (1913) Zône « Zône »
nce de l’honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C
gardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants Ils e
22 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
ur, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes dieux morts en automne, Tu mesures combien
23 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
e que tu es beau et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi que Dieu peut devenir Et tous mes vignerons dans ces belle
/ 23