Deux lacs nègres ») V Toi qui te tournes vers le roi Est-ce que
Dieu
voudrait mourir encore GUILLAUME APOLLINAIRE
Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met
Dieu
, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphy
Les villes tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu comme met
Dieu
, son Ciel Guerre paisible ascèse solitude métaphy
eilles, Et, les convives mastiquaient à qui mieux mieux. Ah, nom de
Dieu
! qu’ont donc crié ces entrecôtes, Ces grands pât
c’est le sol qui va Lors que vous avancer [botte] sacré nom de
Dieu
quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant
ue vous avancer [botte] sacré nom de Dieu quelle allure nom de
Dieu
quelle allure cependant que la nuit descend [Notr
andes plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le
Dieu
de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
ourdes cymbales qu’agitent les chérubins fous d’amour En l’honneur du
Dieu
des armées * * * Un arbre dépouillé sur une b
que dans notre vallée Icare Pour éviter la Nuit ta mère incestueuse
Dieu
circulaire et bon je flotte entre les nues Loin d
e dit écoutez c’est charmant A Smyrne à Naples en Tunisie Mais nom de
Dieu
où est-ce La dernière fois que j’ai été en Chine
d’oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah nom de
Dieu
qu’ont donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés
tte, es-tu triste ? O petit cœur ! » — « Je crois qu’elle aime. » — «
Dieu
garde ! » — « Pour ma part je n’aime que moi-même
riez, priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc mourir et que
Dieu
vous protège. Mon amant est parti pour un pays
femmes striées éclat de plongeon-diamant Arlequins semblables à
Dieu
en variété Aussi distingués qu’un lac Fleurs
grand plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le
Dieu
de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
grand plaintes végétales. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le
Dieu
de ma jeunesse ? L’amour est devenu mauvais. Qu’a
nce de l’honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est
Dieu
qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C
gardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en
Dieu
ils prient les femmes allaitent des enfants Ils e
nce de l’honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est
Dieu
qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C
gardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en
Dieu
ils prient les femmes allaitent des enfants Ils e
ur, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et toi, qui me suis en rampant,
Dieu
de mes dieux morts en automne, Tu mesures combien
e que tu es beau et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi que
Dieu
peut devenir Et tous mes vignerons dans ces belle