vivrons, mes chers amis, Quand le bon Dieu l’aura permis. GUILLAUME APOLLINAIRE

s mains sur tes baisers Tombaient les feuilles automnales GUILLAUME APOLLINAIRE

it cul      Or nithologique      Or J’en ai assez Je vais pisser. APOLLINAIRE

tournes vers le roi Est-ce que Dieu voudrait mourir encore GUILLAUME APOLLINAIRE

                 Et trotte trotte Trotte la petite souris GUILLAUME APOLLINAIRE

au feu du jour ma cigarette Je ne veux pas travailler je veux fumer APOLLINAIRE

s en pleurer La vigne sans ivresse et le champ sans ivraie GUILLAUME APOLLINAIRE

es Et les amants s’aimèrent Tant que prêcheurs prêchèrent GUILLAUME APOLLINAIRE

à son baiser de paix        La Margelle du Puits Capital GUILLAUME APOLLINAIRE

peindre comme tu tiras mon portrait La face des étoiles. GUILLAUME APOLLINAIRE .

Il faut que tu poursuives Cette belle ombre que tu veux. GUILLAUME APOLLINAIRE .

Qui sont la neige La rose et l’abeille Ainsi que l’avenir GUILLAUME APOLLINAIRE

oute tomber les liens qui te retiennent en haut et en bas GUILLAUME APOLLINAIRE

n tombant tour à tour ont jonché le sentier 3 Avril 1915 GUILLAUME APOLLINAIRE

rs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent. GUILLAUME APOLLINAIRE .

ublime                     Italie  o divine o française GUILLAUME APOLLINAIRE

ointaines et plus doux que ne sont les coussins de l’auto GUILLAUME APOLLINAIRE .

        Je répète encore un coup         Oh ! Monsieur Aïe ! Aïe ! APOLLINAIRE

mon conte L’enfant est la richesse et la seule qui compte. GUILLAUME APOLLINAIRE .

d              La mort A belles dents Quand bruit le vent GUILLAUME APOLLINAIRE

fuite ou floraison d’effroi Lorsque cet enfant d’or souriait au vieux roi Guillaume APOLLINAIRE .

e                    O Bavardes o folles le long du fleuve GUILLAUME APOLLINAIRE

connais        Et qui ne se repose jamais Décembre 1915 GUILLAUME APOLLINAIRE

Guerre par GUILLAUME APOLLINAIRE officier d’infanterie en campagne            Ram

                                         Allons plus vite GUILLAUME APOLLINAIRE

                                       lenteur immémoriale GUILLAUME APOLLINAIRE

m nocturne où tu reposes,       Mortification des roses ! GUILLAUME APOLLINAIRE .

ure de ma lumière Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie GUILLAUME APOLLINAIRE

et la beauté Il y a là le chant de tout l’amour du monde GUILLAUME APOLLINAIRE

belle. Dis-moi, le savais-tu, que mon âme est mortelle ? GUILLAUME APOLLINAIRE .

eurs et les fleurs nues des vignes. Leutesdorf, mai 1902. GUILLAUME APOLLINAIRE

l’heure,                Les jours s’en vont, je demeure. GUILLAUME APOLLINAIRE .

ne tarit pas               Quand donc finira la semaine ! GUILLAUME APOLLINAIRE .

rs tâchez de revenir Mais nul ne sait ce qui peut advenir GUILLAUME APOLLINAIRE

aux morts                         Et cachons nos sanglots GUILLAUME APOLLINAIRE

tu dors, — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [étoiles] GUILLAUME APOLLINAIRE          lieutenant français d’infanterie en campa

que l’obscurité étant complète je me léverai pour allumer ma lampe. APOLLINAIRE

ommuniqué : « Duel d’artillerie, à minuit, en Champagne… » GUILLAUME APOLLINAIRE . Le i er juin 1915. »

ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIRE .

r ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIRE

’amour veut qu’aujourd’hui mon ami André Salmon se marie. GUILLAUME APOLLINAIRE

ui parfait Présente tout ensemble et l’effort et l’effet. GUILLAUME APOLLINAIRE

fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne. GUILLAUME APOLLINAIRE

s la Seine Les étoiles mouraient le jour naissait à peine GUILLAUME APOLLINAIRE

bscures espérances Adieu Adieu Soleil levant cou tranché GUILLAUME APOLLINAIRE .