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1 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles  ») Le chemin qui mène aux étoiles Est pur, san
cipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux étoiles Est pur, sans ombre et sans clarté. J’ai marché,
2 (1916) Tristesse d'une étoile « Tristesse d’une étoile »
Tristesse d’une étoile Une belle Minerve est l’enfant de ma tête Une
istesse d’une étoile Une belle Minerve est l’enfant de ma tête Une étoile de sang me couronne à jamais La raison est mon fo
3 (1917) à Edmond Vallée « à Edmond Vallée »
déjà glacé le sang les moelles Lorsque vous racontiez l’histoire des étoiles .
4 (1914) Paysage animé « Paysage animé »
ge animé   A Roch Grey [Maison] voici la maison où naissent les étoiles et les divinités [Arbre] cet arbrisseau qui se pr
5 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. * Leurs yeux, étoiles bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’importe,
esse égale Celle des constellations, Car, c’est moi seul, nuit, qui t’ étoile . * Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte
telles nous ensanglantent Dans le nid des Sirènes, loin Du troupeau d’ étoiles oblongues.
6 (1907) Fragment « Fragment »
t la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. Leurs yeux, étoiles bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’importe,
gesse égale Celle des constellations, Car c’est moi seul, nuit, qui t’ étoile . Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte av
lles nous ensanglantent Dans les nids des Sirènes, loin Du troupeau d’ étoiles oblongues.
7 (1915) Madeleine « Madeleine »
Madeleine   Dans le village arabe [ étoile ] Des Souvenirs [cœur] mais il y a d’autres chanso
8 (1915) Madeleine « Madeleine »
Madeleine Dans le village arabe [ étoile ] Des Souvenirs [cœur] mais il y a d’autres chanso
9 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
le Tu les consacres à peindre comme tu tiras mon portrait La face des étoiles . GUILLAUME APOLLINAIRE.
10 (1914) Etoile « Etoile »
Etoile Je songe à Gaspard ce n’est certainement pas S
11 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
rdu qui cherche ses saisons, Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance [ étoiles ]                       Nous vous aimons,        ô
étus de la paille où tu dors, — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [ étoiles ] GUILLAUME APOLLINAIRE         lieutenant franç
12 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
                                                          La face des étoiles .
13 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’ étoiles c’est ton visage que je ne vois plus
14 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’ étoiles c’est ton visage que je ne vois plus   Idéogramme
15 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
lanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes yeux tristes et las Et
16 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus caressent le mol Parfum noctur
17 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus caressent le mol Parfum noctur
18 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
nus de Bohême, Quelques fées et les enchanteurs. Ayant décroché une étoile , Il la manie à bras tendu, Tandis que des pieds u
19 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
nus de Bohême Quelques fées et les enchanteurs ! Ayant décroché une étoile Il la manie, à bras tendu, Tandis que des pieds u
20 (1916) Guerre « Guerre »
 »…       Les jeunes de la classe 1915,                             [ étoile ]       & ces fils de fer électrisés ? Ne pleu
21 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
ourbe d’une hanche. L’air est plein d’un terrible alcool filtré des étoiles mi-closes… Les obus caressent le mol parfum noctu
22 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
nés A briller plus que des planètes A briller doucement, changés En étoiles et enneigés. Aux Noëls bienheureuses Fêtes des sa
23 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissem
24 (1917) Sanglots « Sanglots »
glots                         Notre amour est réglé par les calmes étoiles                         Or nous savons qu’en nous
25 (1916) Fusée « Fusée »
uris verte file parmi la mousse * *   * Notre amour est un sous les étoiles * *   * Le riz a brûlé dans la marmite du campe
26 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
ducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette étoile inconnue                As-tu connu Guy au gal
27 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
ducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette étoile inconnue                As-tu connu Guy au galo
28 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
s Le Conducteur écoute abrité dans les bois La chanson que répète une étoile inconnue                      As-tu connu Guy au
29 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
s avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les étoiles , Ni : parce que les drapeaux claquent aux fenêtre
amour qui emplit ainsi que la lumière Tout le solide espace entre les étoiles et les planètes, L’amour veut qu’aujourd’hui mon
30 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
r être fauste je l’ai jetée Pardon je ne fais pas plus d’ombre qu’une étoile Je suis le seul qui pense dans l’immensité Mon
31 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris. Je buvais à pleins verres les étoiles , Un ange a exterminé, pendant que je dormais, Les
rtaient le vinaigre, Et les gueux mal blessés par l’épurge dansaient. Etoiles de l’éveil ! je n’en connais aucune. Les becs de
rment de silence. Tous les mots que j’avais à dire se sont changés en étoiles . Un Icare tente de s’élever jusqu’à chacun de me
32 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
                                        Le bras de l’officier est mon étoile polaire Il pleut mon manteau est trempé et je m’e
33 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
              Et t’apportent mon amour Rose lys ô panthère ô colombes étoile bleue                                      ô Made
34 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
destins impénétrables, Rois secoués par la folie… Et ces grelottantes étoiles … De fausses femmes dans vos lits Aux déserts que
35 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de jours rongés par les étoiles , Parmi le bruit des flots et les derniers serment
36 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de jours rongés par les étoiles , Parmi le bruit des flots et des derniers serment
37 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
lgré moi me caressent. Tentations de lune et de logomachies. Trop d’ étoiles s’enfuient quand je dis mes prières. O chef de mo
pilules. Un squelette de reine innocente est pendu À un long fil d’ étoile en désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs
38 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra. Se mêle au hennisse
39 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissem
40 (1912) Zône « Zône »
prières C’est la double potence de l’honneur et de l’éternité c’est l’ étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi e
t de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans leur étoile comme les rois mages Ils espèrent gagner de l’arg
41 (1913) Zône « Zône »
prières C’est la double potence de l’honneur et de l’éternité c’est l’ étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi e
t de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans leur étoile comme les rois mages Ils espèrent gagner de l’arg
42 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’ étoiles dans les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaie
43 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
t lentement Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les étoiles mouraient le jour naissait à peine GUILLAUME AP
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