cipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux
étoiles
Est pur, sans ombre et sans clarté. J’ai marché,
istesse d’une étoile Une belle Minerve est l’enfant de ma tête Une
étoile
de sang me couronne à jamais La raison est mon fo
ge animé A Roch Grey [Maison] voici la maison où naissent les
étoiles
et les divinités [Arbre] cet arbrisseau qui se pr
la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. * Leurs yeux,
étoiles
bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’importe,
esse égale Celle des constellations, Car, c’est moi seul, nuit, qui t’
étoile
. * Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte
t la route à la rencontre De mes blessures bien-aimées. Leurs yeux,
étoiles
bestiales, Eclairent ma compassion ; Qu’importe,
gesse égale Celle des constellations, Car c’est moi seul, nuit, qui t’
étoile
. Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte av
le Tu les consacres à peindre comme tu tiras mon portrait La face des
étoiles
. GUILLAUME APOLLINAIRE.
rdu qui cherche ses saisons, Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance [
étoiles
] Nous vous aimons, ô
étus de la paille où tu dors, — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [
étoiles
] GUILLAUME APOLLINAIRE lieutenant franç
frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’
étoiles
c’est ton visage que je ne vois plus
frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’
étoiles
c’est ton visage que je ne vois plus Idéogramme
lanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans
étoile
L’amour a incanté mes yeux tristes et las Et
courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des
étoiles
mi-closes Les obus caressent le mol Parfum noctur
courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des
étoiles
mi-closes Les obus caressent le mol Parfum noctur
nus de Bohême, Quelques fées et les enchanteurs. Ayant décroché une
étoile
, Il la manie à bras tendu, Tandis que des pieds u
nus de Bohême Quelques fées et les enchanteurs ! Ayant décroché une
étoile
Il la manie, à bras tendu, Tandis que des pieds u
ourbe d’une hanche. L’air est plein d’un terrible alcool filtré des
étoiles
mi-closes… Les obus caressent le mol parfum noctu
nés A briller plus que des planètes A briller doucement, changés En
étoiles
et enneigés. Aux Noëls bienheureuses Fêtes des sa
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des
étoiles
N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissem
uris verte file parmi la mousse * * * Notre amour est un sous les
étoiles
* * * Le riz a brûlé dans la marmite du campe
ducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette
étoile
inconnue As-tu connu Guy au gal
ducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette
étoile
inconnue As-tu connu Guy au galo
s Le Conducteur écoute abrité dans les bois La chanson que répète une
étoile
inconnue As-tu connu Guy au
s avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les
étoiles
, Ni : parce que les drapeaux claquent aux fenêtre
amour qui emplit ainsi que la lumière Tout le solide espace entre les
étoiles
et les planètes, L’amour veut qu’aujourd’hui mon
r être fauste je l’ai jetée Pardon je ne fais pas plus d’ombre qu’une
étoile
Je suis le seul qui pense dans l’immensité Mon
Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris. Je buvais à pleins verres les
étoiles
, Un ange a exterminé, pendant que je dormais, Les
rtaient le vinaigre, Et les gueux mal blessés par l’épurge dansaient.
Etoiles
de l’éveil ! je n’en connais aucune. Les becs de
rment de silence. Tous les mots que j’avais à dire se sont changés en
étoiles
. Un Icare tente de s’élever jusqu’à chacun de me
destins impénétrables, Rois secoués par la folie… Et ces grelottantes
étoiles
… De fausses femmes dans vos lits Aux déserts que
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de jours rongés par les
étoiles
, Parmi le bruit des flots et les derniers serment
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de jours rongés par les
étoiles
, Parmi le bruit des flots et des derniers serment
lgré moi me caressent. Tentations de lune et de logomachies. Trop d’
étoiles
s’enfuient quand je dis mes prières. O chef de mo
pilules. Un squelette de reine innocente est pendu À un long fil d’
étoile
en désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des
étoiles
N’étant que ce qui deviendra. Se mêle au hennisse
êtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des
étoiles
N’étant que ce qui deviendra Se mêle au hennissem
prières C’est la double potence de l’honneur et de l’éternité c’est l’
étoile
à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi e
t de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans leur
étoile
comme les rois mages Ils espèrent gagner de l’arg
prières C’est la double potence de l’honneur et de l’éternité c’est l’
étoile
à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi e
t de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare Ils ont foi dans leur
étoile
comme les rois mages Ils espèrent gagner de l’arg
amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’
étoiles
dans les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaie
t lentement Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les
étoiles
mouraient le jour naissait à peine GUILLAUME AP