je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne
éternel
, ô ma Saison mentale, Les mains des Amantes d’ant
je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne
éternelle
, ô ma saison mentale, Les mains des amantes d’ant
Et mon jardin, un monde où je vivais exprès Pour y filer un jour les
éternels
cyprès. Louise Lalanne.
u ralliement Halte là [ficelle] Le mot Claire-Ville-Neuve en cristal
Eternel
[portée] forte s’allantanado Ah !
ralliement Halte là [ficelle] Le mot Claire-Ville-Neuve en cristal
Eternel
[portée] forte s’allantanado Ah !
et l’ennemi lui-même Amaro écoutez Le fracas
éternel
de nos artilleries Erige un monument de rumeurs
ns, restons face à face Tandis que sous le pont de nos bras passe Des
éternels
regards l’onde si lasse. Vienne
s, nous joyaux, et nous L’AGNEAU MYSTIQUE Nous Châsse de Memlinc, cet
éternel
cantique, Et nous ces fins d’été qui saignent dan
qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des enfants et l’
éternelle
vie. Mais nous ne dirons plus ni le mythe des v
déclin de l’été, Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit
éternel
d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mo
ents, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Merlin guettait la vie et l’
éternelle
cause Qui fait mourir et puis renaître l’univers.
ne foule de rois ennemis et cruels Ayant soif comme toi dans la vigne
éternelle
Sortiront de la terre et viendront dans les airs
belles journées sommeils terribles Végétation accouplements musiques
éternelles
Mouvements adorations douleur divine Mondes qui v
chette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’
éternelle
et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais
chette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’
éternelle
et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais