/ 14
1 (1902) Mai « Mai »
daient du haut de la montagne. Vous êtes si jolies ! Mais la barque s’ éloigne . Qui donc a fait pleurer les saules riverains ?
des tsiganes Suivaient une roulotte traînée par un âne, Tandis que s’ éloignait , dans les vignes rhénanes, Sur un fifre lointain,
2 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 4
e qui est ce qu’il y a                        au monde        de plus éloigné de tout égoïsme
3 (1909) Saltimbanques « I. Saltimbanques »
I. Saltimbanques Dans la plaine les baladins S’ éloignent au long des jardins, Devant l’huis des auberges g
4 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
ple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi, Éloignez du brasier les ossements, Je suffis pour l’éterni
5 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
be au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Avec la femme qui s’ éloigne , Avec celle que j’ai perdue L’année dernière, en
6 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
iple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi Eloignez du pyrée les ossements Je suffis pour l’éternité
7 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
              Voici l’hiver et pas à pas                Leur beauté s’ éloignera d’elles                O lueurs soudaines des t
8 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
e, innombrablement ; Les membres des intercis flambent auprès de moi, Eloignez du brasier les ossements, Je suffis pour l’éterni
9 (1911) Cortège « Cortège »
devant les yeux, Une voûte entre vous et toutes les lumières Et je m’ éloignerai , m’illuminant au milieu d’ombres Et d’alignements
10 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
itures de livraison C’est là qu’entra le musicien Et sa musique qui s’ éloignait devint langoureuse Et les femmes le suivirent dan
11 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a regardé longtemps, M’ éloigner en chantant. * *  * [« Au tournant d’une rue,
12 (1911) Le Larron « Le Larron »
e Il en est tant venu par la route ou la mer Conquérants égarés qui s’ éloignent trop vite Et des bandes souvent qui fuyaient aux
13 (1912) Zône « Zône »
maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’ éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine la fausse
14 (1913) Zône « Zône »
maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’ éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine la fausse
/ 14