daient du haut de la montagne. Vous êtes si jolies ! Mais la barque s’
éloigne
. Qui donc a fait pleurer les saules riverains ?
des tsiganes Suivaient une roulotte traînée par un âne, Tandis que s’
éloignait
, dans les vignes rhénanes, Sur un fifre lointain,
e qui est ce qu’il y a au monde de plus
éloigné
de tout égoïsme
I. Saltimbanques Dans la plaine les baladins S’
éloignent
au long des jardins, Devant l’huis des auberges g
ple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi,
Éloignez
du brasier les ossements, Je suffis pour l’éterni
be au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Avec la femme qui s’
éloigne
, Avec celle que j’ai perdue L’année dernière, en
iple, innombrablement Les membres des intercis flambent auprès de moi
Eloignez
du pyrée les ossements Je suffis pour l’éternité
Voici l’hiver et pas à pas Leur beauté s’
éloignera
d’elles O lueurs soudaines des t
e, innombrablement ; Les membres des intercis flambent auprès de moi,
Eloignez
du brasier les ossements, Je suffis pour l’éterni
devant les yeux, Une voûte entre vous et toutes les lumières Et je m’
éloignerai
, m’illuminant au milieu d’ombres Et d’alignements
itures de livraison C’est là qu’entra le musicien Et sa musique qui s’
éloignait
devint langoureuse Et les femmes le suivirent dan
en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a regardé longtemps, M’
éloigner
en chantant. * * * [« Au tournant d’une rue,
e Il en est tant venu par la route ou la mer Conquérants égarés qui s’
éloignent
trop vite Et des bandes souvent qui fuyaient aux
maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’
éloigne
ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine la fausse
maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’
éloigne
ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine la fausse
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