rés se prennent à hennir tout comme un univers de villes auriculaires
écoute
s’il pleut tandis que le regret et le dédain pleu
pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique
écoute
tomber les liens qui te retiennent en haut et en
apeau AMARO Le vert qui est la végétation
ÉCOUTEZ
l’espéra
et l’ennemi lui-même Amaro
écoutez
Le fracas éternel de nos artilleries Erige un
les couronnes faites en fleurs d’éclatements Amaro
écoutez
La Russie chante la Marseillaise L’Amé
intemps [hors motifs] le bonheur et le malheur marchent de compagnie/
Ecoutez
-moi bien il y va de la vie et tant de nouvelles E
de compagnie/ Ecoutez-moi bien il y va de la vie et tant de nouvelles
Ecoutez
-moi tous
d’encre Les hommes et les FEMMES sont tous insermentés Les bergers
écoutaient
ce que disaient les anges Leurs âmes s’apaisaient
ent ce qu’ils croyaient entendre Car ils savaient déjà tout ce qu’ils
écoutaient
Sur cette assiette hélas ! j’aperçois trois chi
ET L’ENNEMI LUI-MÊME Amaro
écoutez
Le fracas éternel de nos artilleries
es en fleurs d’éclatements Amaro
écoutez
La Russie chante la Marseillaise
bus Qui dans les vignes se lamentent Parce qu’ils n’ont pas assez bu…
Ecoutons
les muses qui chantent. Honnef , 1901.
ue toujours en français Et pendue éperdument à mon bras Vous m’auriez
écouté
vous parler de Pythagoras En pensant aussi au caf
le bois aux myrtilles J’aurais fredonné un moment Puis nous aurions
écouté
longtemps les bruits du crépuscule
Mon beau tsigane, mon amant,
Ecoute
les cloches qui sonnent Nous nous aimions éperdum
Guerre Rameau central de combat Contact par l’
écoute
On fore dans la direction « des bruits entendus »
e Rameau central de combat Contact par l’
écoute
On fore dans la direction « des bruits entendus »
m’épargner toujours Au demeurant je ne crois pas mais je regarde et j’
écoute
et notez Que je lis assez bien dans la main Car j
la main Car je ne crois pas mais je regarde et quand c’est possible j’
écoute
Tout le monde est prophète mon cher André Billy
libraire Un journaliste que je connais d’ailleurs très vaguement
Ecoute
Jacques c’est très sérieux ce que je vais te dire
du Luxembourg Une fois là il me présente un gros bonhomme Qui me dit
écoutez
c’est charmant A Smyrne à Naples en Tunisie Mais
chanson des rameurs sur les vagues se traîne, La reine et son amant l’
écoutent
les yeux clos, Sans crainte d’un récif ni d’un ch
t rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme.
Ecoutez
la chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir
combat, [obus] Contact, par l’
écoute
, On fore dans la direction des bruits « entendus
Enfant souris ô sœur
écoute
Pauvres marchez sur la grand route
couleur du Pobiron [à droite, verticalement de gauche à droite] il n’
écoute
pas il marche vite et chacun danse à sa
ontinue Les Servants ont limé la bague au long des mois Le Conducteur
écoute
abrité dans les bois La chanson que répète une ét
s invisibles Horizon invisible je chante Que les civils et les femmes
écoutent
les chansons Et voici d’abord la cantilène du bra
nsi que les avettes Moi l’horizon je fais la roue comme un grand paon
Ecoutez
renaître les oracles qui avaient cessé Le grand P
nsant devant leurs chevaux, Puis, battiez de vos ailes d’anges, Et, j’
écoutai
ces cœurs rivaux. * Une arme, ô ma tête inquièt
nsant devant leurs chevaux ; Puis, battiez de vos ailes d’anges, Et j’
écoutai
ces chœurs rivaux. Une arme, ô ma tête inquiète
res Et des chiens aboyaient aux passants morfondus. « Il est mort ;
écoutez
! « La cloche de l’église » Sonnait tout doucemen
des paysages ? Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres ; J’
écoutais
cette nuit, au déclin de l’été, Un oiseau langour
’Antéros en larmes Je suis le ciel de la cité
Ecoutez
la mer La mer peiner au loin et crier toute seule
ords de la Seine La plainte d’autres voix limpides et lointaines Et j’
écoutai
longtemps tous ces chants et ces cris Qu’éveillai
rs Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et dormir les bélandres
Ecoutez
mes chants d’universelle ivrognerie Et la nuit d
non ! Moi, je le nie, Car j’ai trop espéré en vain l’hématidrose. J’
écoutais
à genoux toquer les battements Du cœur. Le sang,
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