on désir, la mer est ta victoire. Tout habillé de bleu quand il a l’
âme
noire Au pied d’une potence un beau masque prend
’amour, du moins une mort aussi belle. Dis-moi, le savais-tu, que mon
âme
est mortelle ? GUILLAUME APOLLINAIRE.
e Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’
âme
et la raison Le galop bleu des souvenances Trav
aient tendres Dans les parages de Palos Que de sous-marins dans mon
âme
Naviguent et vont l’attendant Le superbe navire o
la dame Qui n’est pas là, La marjolaine est pour mon
âme
Tralala ! Le chêvrefeuille e
e Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’
âme
et la raison Le galop bleu des souvenances Trav
e Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’
âme
et la raison Le galop bleu des souvenances Trav
oins d’occidental cinname, Au couchant, où sanglant et rond comme mon
âme
Le grand soleil payen fait mourir en mourant Avec
le secret malheur qui nourrit mon délire Est bien plus grand qu’aucun
âme
ait jamais celé Et je porte avec moi cette arde
oins d’occidental cinname, Au couchant où, sanglant et rond comme mon
âme
, Le grand soleil païen fait mourir, en mourant, A
nt arrachés par le passage des types de ma pièce Moi j’ai ce soir une
âme
qui s’est creusée qui est vide On dirait qu’on y
pu encore cultiver où élever ou humaniser. Dans ce grand vide de mon
âme
il manque un soleil il manque ce qui éclaire C’es
Les flammes qui brûlent les
âmes
Sur le Boul
est ensanglantée Ton
âme
est rouge aussi
prendront d’assaut Les prêtres de ma bouche encenseront ta beauté Ton
âme
s’agitera comme une région pendant un tremblement
insermentés Les bergers écoutaient ce que disaient les anges Leurs
âmes
s’apaisaient comme un midi d’été Les bergers comp
parler alors De ce péché sexagénaire ? » « J’ai l’
âme
jeune en un vieux corps, J’aime me rappeler ce be
ardent comme une flamme Tandis que vous sentez dans la nuit de votre
âme
Des violes d’amour vibrer le dernier son Et l’h
’amour est devenu mauvais. Qu’au brasier les flammes renaissent ! Mon
âme
au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé d
du matin Réveille l’odeur des roses de ses jardins J’ai parfumé mon
âme
A la rose Pour ma vie entière Ispahan grise et
périr Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
âme
il pleut mais il pleut des yeux morts — Ulysse !
* * Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
âme
il pleut mais il pleut des yeux morts — Ulysse !
* * Le printemps tout mouillé la veilleuse l’attaque Il pleut mon
âme
il pleut mais il pleut des yeux morts — Ulysse
! Le printemps tout mouillé, la veilleuse l’attaque. Il pleut, mon
âme
, il pleut, mais il pleut des yeux morts. — Ulysse
lisser. Villes, vos monuments, églises et musées, Renaissent en mon
âme
. O Flandres, je revois Vos chefs-d’œuvre debout,
uand ils naissent. Tue les dieux nés de nos clairs yeux Et dans nos
âmes
; le sang pieux De tes pieds console les dieux.
a un trou qui sert d’âtre et ce qui y brûle est un feu semblable à l’
âme
Tant il tourbillonne et tant il est inséparable d
auté qu’on appelle antique Et qui est la noblesse la force l’ardeur l’
âme
l’usure De ce qui est neuf et qui sert Surtout si
es marraines. Mais, en vérité, je t’attends Avec mon cœur, avec mon
âme
, Et sur le pont des Reviens-t’en Si jamais revien
Douleur qui doubles les destins, La licorne et le capricorne — Mon
âme
et mon corps incertain — Te fuient, ô bûcher divi
s Des couronnes mortuaires C’est le jour des morts et de toutes leurs
âmes
. Les enfants et les vieilles femme Allument des
rés Clémence et Joséphine Et deux rosiers grimpaient le long de son
âme
Un merveilleux trio Il sourit sur le Pavé des Gar
rés Clémence et Joséphine Et deux rosiers grimpaient le long de son
âme
Un merveilleux trio Il sourit sur le pavé des gar
us beau encore si le ciel y mangeait avec la terre Il n’avale que des
âmes
Ce qui est une façon de ne pas se nourrir Et se c
L’amour est devenu mauvais. Qu’au pyrée les flammes renaissent ! Mon
âme
au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé d
’amour est devenu mauvais. Qu’au Brasier les flammes renaissent ! Mon
âme
au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé d
gruyère est fait avec du lait de vache, O crâne dont j’ai peur en mon
âme
bravache ! O tête, j’ai baisé tes dents comme un
n que s’aimer nuitamment Il y avait des fruits tout ronds comme des
âmes
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre j
n de s’aimer nuitamment. Il y avait des fruits tout ronds comme des
âmes
Et des amandes de pomme de pin jonchaient Votre j
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