Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends »)
Gentil Rousseau, tu nous
entends.
Nous te
saluons
Delaunay, sa femme, Monsieur
Quéval et moi.
Laisse passer nos bagages en
franchise
à la porte
du ciel
Nous t’apporterons des pinceaux,
des couleurs,
des
toiles
Afin que tes loisirs sacrés dans
la lumière réelle
Tu les consacres à
peindre
Comme tu tiras mon
portrait
La face
des étoiles.