Tristesse d’▶une étoile
La raison est mon fond et le ciel est mon
faîte
Du chef où dès longtemps Déesse tu t’armais
C’est pourquoi ◀de mes maux ce n’était pas le pire
Ce trou presque mortel et qui s’est étoilé
Mais le secret malheur qui nourrit mon délire
Est bien plus grand qu’aucun âme ait jamais
celé
Et je porte avec moi cette ardente souffrance
Comme le ver luisant tient son corps enflammé
Comme au cœur du soldat Il palpite la France
Et comme au cœur du lys le pollen parfumé