Épousailles
A une qui est au bord de l’Océan.
L’amour▶ a épousé l’absence, un soir d’été ;
Accompagne à pas lents sa femme, votre absence,
Qui, très douce, le mène et, tranquille, se tait.
Et l’◀amour qui s’en vint aux bords océaniques,
Où le ciel serait grec si toutes étaient nues,
Y pleure d’être dieu encore et inconnu,
Ce dieu jaloux comme le sont les dieux uniques.