Mais si Raphaël ne possédait pas ces parties aussi parfaitement que ces peintres, il en avait tant d'autres rares et admirables, que le défaut de celles-là ne paraît point parmi un si grand nombre de beautés qui brillent dans ses ouvrages. […] Il avait auprès de lui Jean da Udine, qui pour bien représenter les animaux était le plus excellent de tous ses élèves ; il l’employait à peindre des oiseaux fort rares, et d’autres bêtes sauvages que le pape faisait nourrir.