ne qui l’égalt dans ce grand savoir et cette haute suffisance, qui le
rendaient
incomparable. De même l’on ne peut pas dire que M
mant que celui du Corrège, toutefois il y a tant d'autres parties qui
rendent
ses ouvrages recommandables, que sans avoir égard
ce et de la douceur, il observait néanmoins certaines choses, qui les
rendaient
grandes et nobles. En sorte que dans ce qui regar
s tableaux ; de sorte que la douceur, la politesse et la civilité, ne
rendaient
pas sa personne moins chère à tout le monde, que
daient pas sa personne moins chère à tout le monde, que ses peintures
rendaient
son nom célèbre par toute la terre. Comme je n’ai
yant agréé, Bramante en écrivit à Raphaël qui partit aussitôt pour se
rendre
à la cour du pape, où il fut reçu avec beaucoup d
tre travaillé cinquante ans après l’antique et le naturel, et s’était
rendu
un excellent homme : cela est digne d’une grande
endre en Italie et de venir saccager Rome. Il partit aussitôt pour se
rendre
à Ostie, où il les attendit en résolution de les
as perdre la moindre des choses qu’il croyait pouvoir contribuer à le
rendre
plus savant. Il avait auprès de lui Jean da Udine