temps-là. Je veux à présent vous entretenir du grand Raphael, et vous
parler
de cet homme célèbre, qui a surpassé tous ceux qu
égal parmi ceux qui l’ont suivi. 2 De la manière, dit Pymandre, qu'on
parle
de lui, je ne doute pas qu’il n’ait été le plus g
e je viens de nommer. Il me semble, répondis-je, que quand je vous ai
parlé
d'Appelle qui a passé pour le premier peintre de
ulement la suite et le progrès de la peinture, je ne m'étendrai pas à
parler
de Raphaël, autant qu'un si beau sujet semble le
le mena à Sienne, où il travaillait dans la librairie dont je vous ai
parlé
. Néanmoins Raphaël n’y demeura guère, et ne fit p
pensée m'en est encore tout à fait douce, et à présent que vous m'en
parlez
, il me semble que je vois devant moi ces beaux ou
bien couper le bois. C'était dans cette même chambre dont je viens de
parler
, que vous regardiez un jour si attentivement les
s ou imitées d'après Michel-Ange ? C'est de ces mêmes figures dont je
parle
, répondis-je ; et il est vrai qu'en ce temps-là l
, et lui dis : je vois bien que vous prenez le parti de celui dont je
parle
présentement, et que vous donneriez volontiers un
e beau tableau qui est dans la chambre qui suit celle dont nous avons
parlé
, ou il a représenté l’histoire d'Attila. Cet ouvr
’on nomme de Torre Borgia. Comme dans l'autre chambre dont je vous ai
parlé
, il avait représenté le grand saint Léon, dans ce
e ne l'égale. Car si d'un côté l'on considère dans le tableau dont je
parle
, avec quelle valeur les chrétiens attaquent les i
ançois ler s'y rencontrèrent en 1515. Bien que Vasari, poursuivis-je,
parle
de ces tableaux comme s'ils avaient été faits pou