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1 (1672) Entretiens II
e, il y apportait tant de soin et y travaillait avec tant d'art et de jugement , que c’est par là qu'il a surpassé tous les autre
en de lui où l’on ne puisse remarquer une sage conduite, une force de jugement , une beauté, et une grâce admirable, de sorte que
n éloge pour Raphaël, qui faisait paraître par là l'excellence de son jugement , et la force de son esprit. Comme Pymandre eut fi
2 (1699) Abrégé vie de Raphaël
lles qualitez et cette douceur qui luy estoit naturelle, il en fit ce jugement avantageux et conforme à la perfection de Raphaël
iquer la Peinture dans ces autres parties. Et comme il avoit un grand jugement , il pensa que toute la perfection de ceste Scienc
3 (1699) Abrégé vie des peintres
ux Peintres Modérnes, et qu'il étoit un Asne comparé aux Antiques. Ce jugement ne peut regarder que les pensées, le gout et la j
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