excellent que celui de Raphael, qui exprimait toutes choses avec une
douceur
et une grâce merveilleuse. Il ne lui échappait ja
faire paraître de la fierté et de la force, que de la grâce et de la
douceur
, il observait néanmoins certaines choses, qui les
et dans ses mœurs, aussi bien que dans ses tableaux ; de sorte que la
douceur
, la politesse et la civilité, ne rendaient pas sa
es sortes de sujets. Dans ceux où il ne faut que de la grâce et de la
douceur
, il surpasse tous les autres peintres ; et quand