anmoins que quelque grandeur et quelque sévérité qu’il y ait dans son
dessin
, il n’est point si excellent que celui de Raphael
Comme le séjour de Florence ne lui parut pas moins agréable, que les
dessins
de ces deux grands hommes lui semblèrent excellen
s estampes d'Albert résolut de faire aussi graver quelques-uns de ses
dessins
, connaissant bien qu’il n’y a rien de plus avanta
estampes, les demi-teintes, les ombres et la lumière, comme dans les
dessins
qui sont lavés de clair et d'obscure. Nous sommes
cent quarante qui ont été gravées seulement après les tableaux ou les
dessins
de Raphaël. Il peignit encore alors un Christ por
nerfs et les muscles y sont exprimés avec une science et une force de
dessin
si admirable, que cette seule figure peut faire c
sauvages que le pape faisait nourrir. Aussi quand Raphaël eut fait le
dessin
des loges du Vatican, et qu’il eut fait achever c
tés de tout ce grand ouvrage. Les tableaux, comme vous savez, sont du
dessin
de Raphaël, et si dignement exécutés par ses élèv