Raphael à Peruge chez le Perugin. Ceste separation ne se fit pas sans beaucoup de larmes de sa mere qui l’aymoit tendrement. Aussi-

l d’Orviette ou de Bolsena, là un Prestre est à l’Autel accompagné de beaucoup de personnages necessaires au sujet qui sont autant

Medicis, beaux à son ordinaire : tant d’excellents ouvrages acquirent beaucoup de reputation et de facultez à Raphael, si bien qu’

y envoya plusieurs desseins de sa main, que sans doute il receut avec beaucoup de joye. Les Estampes d’Albert Durer donnerent envie

l fit tous les cartons des Tableaux qui y sont et y peignit luy mesme beaucoup de Figures à Fresque. Il disposa dans la voute le Co

st aproché de plus pres. La maniere seiche du Perugin luy donna aussi beaucoup de peine, lors qu’il se mit à estudier les nuds du C

ceste douceur. Il est vray qu’il y emploia ses hommes qui diminuerent beaucoup de sa perfection ordinaire, ce qu’il recogneut bien

ndit, qu'il alloit luy tout seul comme le Bourreau. Il y eût toûjours beaucoup de jalousie entre ces deux grans Peintres, comme il

la naïveté de la Nature, sans affecter aucune manière. Il a fait voir beaucoup de variété dans ses Figures, et encore plus dans ses

partit aussitôt pour se rendre à la cour du pape, où il fut reçu avec beaucoup de caresses. Il trouva quantité d’ouvrages commencés

toutes les chambres du Vatican ouvertes, je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de voleurs assez habiles, pour faire à l’endroit de

ême accusé Raphaël et d'autres peintres de ce temps-là, d’avoir brisé beaucoup de bas-reliefs qui étaient dans les loges du Colisée