1856-02-22, de Louis Pasteur à A SON PÈRE.

Mon cher papa," N Jeanne est en effet guérie et le mal est parti comme il était venu, sans qu'on sache pourquoi. Je crois maintenant que les vers n'y étaient pour rien.

Le ministre est fort content de la Faculté de Lille. J'ai reçu de lui des compliments ainsi que tous mes collègues par l'intermédiaire du Recteur 2.

Adieu. Embrasse Virginie, son mari, ses enfants pour nous. Je t'embrasse de tout mon cœur et que cette lettre vous trouve tous en bonne santé.

L. PASTEUR.