1774-12-31, de Henri Louis Lekain à Voltaire [François Marie Arouet].

. . . Ma faible voix ne peut rien ajouter à votre gloire. L'Europe entière a couronné vos travaux de lauriers qui ne se faneront jamais.] Nevertheless he hopes that Voltaire's health will enable him to write a few more tragedies in which he himself could be employed before his retirement] qui s'avance de jour en jour. 2 Vous soutiendrez encore en public le bon goût que toutes les fadaises dramatiques font disparaître très sensiblement. Rendez vous aux vœux du public éclairé et sensible. 3