1773-07-10, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Mon cher ami, je vous ai averti, et je vous avertis encore que vôtre argent court un très grand risque.
Je n’ai point parlé, je n’ai point agi, parce que vous ne l’avez pas voulu. Mais dès que vous me le prescrirez je ferai tous mes éfforts pour que vous soiez paié. J’ai peur seulement que la chose ne devienne difficile de jour en jour.

J’envoie aujourd’hui une grosse boëte de la colonie pour Mr Brun.

Trouvez vous bon aussi que je vous en dépêche une pour Dijon?

Bon soir mon très aimable correspondant.